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WhatsApp, Instagram : sources d’information 2.0 ?

Des contenus difficiles à tracer et à modérer

Quand les modes de communications changent, le contrôle des éléments de désinformation s’avère compliquer. C’est le cas par exemple sur le réseau de messagerie privé, WhatsApp. En effet il est possible d’organiser des groupes de discussions sur cette plateforme. Les organes de contrôle ne peuvent donc pas voir et contrôler ce qui se dit à l’intérieur de ces groupes. « C’est particulièrement inquiétant, car les fausses informations ont tendance à être moins visibles et peuvent être plus difficiles à contrer dans ces réseaux privés et cryptés », ont écrit les auteurs du rapport de Reuters à propos de l’utilisation croissante de WhatsApp et de la méfiance des gens à son égard. Les histoires de remède miracle et autres théories conspirationnistes sur les origines du Coronavirus inondent WhatsApp.

Facebook, la société mère de WhatsApp et Instagram, a déclaré au début de cette année qu’elle supprimerait les informations trompeuses sur le coronavirus. Quelques mois plus tard, l’énorme société de médias sociaux a été frappée par des critiques croissantes concernant sa décision de laisser tomber les remarques du président Trump qui comprenaient une référence à « THUGS » en référence aux troubles à Minneapolis.

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