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Revue Quibi – 50 états de peur

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Martin Carr passe en revue le deuxième épisode de la série d’anthologies d’horreur de Quibi 50 States of Fright – ‘Ball of Twine’…

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Une touche de mystérieuse Americana fait ses débuts sur la plate-forme Quibi en avril avec Sam Raimi 50 états de peur. Des atmosphères inquiétantes, des tactiques effrayantes pour les feux de camp et une technologie de pointe se combinent pour créer des moments de terreur mobiles pour le public contemporain.

Il y a une intimité à 50 états de peur dont tout bon spectacle d’anthologie a besoin. Avec un peu plus de huit minutes, non seulement le scénario doit vous saisir, mais chaque horrible titbit devrait vous inciter plus loin dans l’histoire. Il n’y a pas de temps pour créer du suspense, pas de temps pour planter de la chapelure et encore moins pour une résolution cathartique. Avec Quibi, les histoires doivent débuter en explorant toutes les voies tout en le faisant avec ruse et ruse. Les personnages doivent être familiers mais juste à l’écart des stéréotypes, tandis que les montages doivent supprimer l’exposition et se pencher sur le visuel. Avec cette plateforme de streaming, chaque minute compte, il est donc essentiel de les utiliser efficacement.

Heureusement, notre deuxième incursion dans le monde de Quibi trouve Sam Raimi au volant du bus qu’il garde plus de cinquante ans. Avec Karen Allen de Les aventuriers de l’arche perdue, cette légende urbaine se joue en flashback avec des extraits de terreur en temps réel. Les empreintes digitales de Raimi sont partout dans la fable du feu de camp qui joue sur les instincts maternels, les mentalités des petites villes et notre penchant pour les grands contes. Rappelant Black Mirror’s Musée noir avec des éléments de L’homme en osier «Kansas: la plus grosse boule de ficelle d’Amérique» est lourd d’atmosphère et possède un sentiment de malaise omniprésent.

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Structurellement, il utilise des points de tracé comme des cintres de falaise augmentant perpétuellement la tension chapitre par chapitre. Les références à Le brillant sont subtils tandis que d’autres pour L’homme en osier et La mort diabolique horriblement évident. Pour cette raison, plus que la caractérisation mince prouvée par Ming-Na Wen et Thailey Roberge, regarder cela seul la nuit sur un mobile est susceptible de soulever la chair de poule occasionnelle.

Qu’il s’agisse 50 états de peur sera l’élément de contenu transformateur que Quibi a l’intention de voir. Il n’y a aucun doute sur la qualité en termes d’écriture, de production ou de talent à l’écran mais malgré l’horreur ce n’est rien de révolutionnaire. Des piqûres rapides de huit minutes pourraient fonctionner pour créer de la tension, mais cela ressemble plus à des vignettes autonomes plutôt qu’à une partie d’un ensemble plus large. Spectacle d’horreur réussi à le retirer et Oeil de chat a fait de même en reliant chaque histoire, mais pour certains, la plate-forme elle-même pourrait empêcher toute horreur de rentrer chez elle.

Se sentir plus fragmentaire que Jeu le plus dangereux ou Survivre, 50 états de peur gagnerait plus à être une série longue qu’une anthologie d’horreur à main levée. Il est évident que cela remplit un bref genre et fournit l’horreur que Quibi a clairement ressenti nécessaire, mais certains publics pourraient l’apprécier davantage sur un écran plus grand.

Martin Carr

https://www.youtube.com/watch?v=videoseries



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