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Revue de télévision – Alex Rider Season One

Martin Carr passe en revue la première saison d’Alex Rider d’Amazon…

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Quatorze ans après Stormbreaker qui a brièvement fait une star d’Alex Pettyfer et a rappelé aux gens à quel point Damian Lewis aurait pu être bon, vient cette adaptation d’Amazon. Sans grands noms et avec la participation de l’auteur Anthony Horowitz, il porte une ambiance de thriller techno à la pointe de la technologie. Adapté par le célèbre romancier Guy Burt Alex Rider est tracée de manière concise et établit rapidement la menace.

Dirigé par Otto Farrant dans le rôle-titre, il utilise une bande-son urbaine combinée à une atmosphère londonienne du centre-ville, un croisement entre les grandes entreprises de grande hauteur et les salles de classe contemporaines modernes. Les faits saillants de la performance dans les premiers épisodes proviennent de Rider senior d’Andrew Buchan et de l’effrayante effusion du gouvernement de Nyasha Hatendi. Il y a des nuances de Mission impossible pour les ménés, des comparaisons évidentes avec celle de Matthew Vaughn Kingsman et une éclaboussure ou deux d’un certain Pilleur de tombe redémarrer tonalement. Aucune de ces influences n’est une mauvaise chose, mais elle crée un obstacle inhérent lors de l’établissement de l’identité.

Il y a de belles touches de caractère, y compris du parkour impromptu, une référence subtile de Kurosawa et une utilisation révélatrice de la communication par téléphone mobile, tandis que Farrant s’équipe bien. Face à Jack de Ranke Adekoluejo ou face à des adversaires sans nom, ce Alex Rider se sent robuste et adaptable. Les sauts de foi sont peu nombreux mais l’action est crédible, agissant du côté droit de la langue dans la joue tandis que l’équilibre est soigneusement surveillé.

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Bien que l’on ait fait grand cas du bord plus sableux de cette adaptation, le sang est utilisé avec parcimonie, la violence reste efficace et a des conséquences. Dans la plupart des cas, les scènes se déroulent sans l’utilisation traditionnelle de l’humour pour minimiser toute menace, ce qui maintient l’élan et les bords vers le contenu pour adultes sans vraiment aller aussi loin. Nous sommes toujours dans le monde d’un espion adolescent qui fait Alex Rider dériver dans le royaume de Spy Kids à l’occasion, avant de heureusement corriger ce tort.

Les comparaisons entre le film de 2006 mettant en vedette Robbie Coltrane, Ewan McGregor et Alicia Silverstone sont un exercice futile. Alex Rider Le style Amazon a quatre fois plus de temps pour créer de la profondeur, instiller des défauts de caractère et examiner cet adolescent d’une manière que son homologue n’aurait jamais pu. Pettyfer et Farrant abordent le rôle dans des perspectives similaires et sont également compétents sur la base de ces preuves. Sans cette liste étoilée d’acteurs de personnages en lice pour le temps d’écran, Amazon peut se concentrer sur nous donner une jeune franchise Jack Ryan avec de la puissance.

L’adaptation de Guy Burt est intelligente, lisse et écrite de manière concise. Il tire pleinement parti des tropes d’espionnage, embrasse les clichés mais les met à jour pour un public contemporain. Avec les destinations internationales, les méchants infâmes et les agents doubles abondent, ce Alex Rider prend un peu Oeil doré avant de tisser dans une action Bond de l’ère Craig pour ceux qui l’aiment de près et personnel.

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Bien que cette dernière fissure de la série de livres ne risque pas de mettre le feu au monde, elle offre un divertissement solide, des performances mesurées et une ampleur. Certaines personnes disent Alex Rider s’efforce trop de plaire à tout le monde mais à une époque définie par la démographie, viser un large spectre vaut mieux que de rester minoritaire.

Martin Carr

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