Camila Cabello laisse transparaître sa vulnérabilité en ce qui concerne son corps et la pression qu’elle ressent pour faire bonne figure devant les paparazzis… qui la traquent constamment à la plage.
Samedi, la pop star s’est confiée à propos d’une série de photos que les agences de paparazzis ont prises et vendues – une procédure standard pour les stars, et quelque chose qu’elles font régulièrement depuis des années maintenant.
La différence ici, c’est que Camila a clairement un problème avec cela, pas seulement avec les photographes eux-mêmes – qui, selon elle, se donnent beaucoup de mal pour la capturer en public – mais avec la façon dont la société interprète ensuite ces photos, et les effets que cela a sur sa confiance.
Elle écrit notamment :
« Il m’est arrivé de porter des bikinis (trop) petits et de ne pas faire attention à mon apparence, puis de voir des photos en ligne et des commentaires et d’être bouleversée. »
Camila ajoute : « Je me suis rappelé, lorsque cela avait un impact sur mon estime, que je pensais à la culture et non à moi. Une culture qui s’est tellement habituée à une image de ce à quoi ressemble un corps de femme « sain » qui n’est absolument pas réel pour beaucoup de femmes. »
https://www.instagram.com/p/Cb3EVR0vnvs/
La chanteuse et actrice de Cendrillon poursuit en décrivant les photos que vous voyez ci-dessus, expliquant qu’elle s’est assurée de ne rien manger de trop lourd aujourd’hui, tout en aspirant son cœur sans arrêt… sachant que cela allait essentiellement se transformer en un photoshoot complet grâce aux paparazzis présents.
https://www.instagram.com/p/Cb3DDV0u8h2/
Pour Camila Cabello, c’est une façon misérable de vivre, et elle dit qu’elle a du mal à se sentir obligée de se présenter dans une image qu’elle pense être de mauvaise qualité … par le biais des normes de beauté projetées sur elle par la société.
C’est une réflexion assez intéressante qu’elle a entre les mains – mais il semble aussi que Camila prenne des mesures pour aider à faire taire le bruit … comme une thérapie. Elle fait également référence à son enfant intérieur, qui était insouciant … et qui lui manque.